Nouvelles
Rassemblement et pique-nique
lundi 29 mai à 11 h 00
en Gare de Bréauté
Nous y étions pour dire NON!
[lire le compte rendu de l'action]
[lire la déclaration SUD Rail (.doc)]
Départ de ROUEN : 10 h 24
Départ de PARIS St Lazare : 09 h 15
Départ de LE HAVRE : 10 h 27
Départ de DIEPPE : 09 h 40 (changement à Rouen : 10 h 24)
Départ de CAEN : 07 h 13 (changement à Rouen : 10 h 24)
La forte mobilisation de fin Novembre 2005 mettait en avant une privatisation rampante que direction et gouvernement se sont empressés de nier. Mais qu'en est il aujourd'hui?
Au lendemain des marches d'essai effectuées le 10 mai sur la ligne Bréauté-Beuzeville / Gravenchon par des locomotives "FB 1500" de la société EWSI, il apparait que ces circulations pourront circuler sur cette ligne en toute quiétude. Tout sera prêt, les documents de sécurité (renseignements techniques, livret de conditions de circulation des engins moteurs sur la région) seront fin prêts une application à partir du 29 mai 2006.
Alors messieurs, il ne s'agit toujours pas de privatisation?
29 Mai 2006:
débarquement de
Le 31 mars 2006, neuf mois avant les autres pays européens, tous les exploitants ferroviaires peuvent profiter de l’ouverture totale à la concurrence sur le territoire français. L’Europe impose le processus d’éclatement de l’entreprise publique SNCF Elle doit abandonner 10% de son trafic Fret, soit 50000 camions sur la route, pour laisser la place à des exploitants privés. Ces mêmes exploitants privés ne répondent qu’aux appels d’offre les plus « juteux » !
- C’est l’abandon des trafics les moins rentables,
- C’est l’augmentation des tarifs des autres,
- C’est la réduction des coûts de production, la suppression de 30% d’emplois, la réduction d’engins et la fermeture de nombreux triages.
Nous craignons des dérives, quant au maintient du haut niveau de sécurité des circulations.
Les expériences de libéralisation en Europe démontrent aujourd’hui que la concurrence ne favorise en rien le transfert de la route vers le fer. Cette libéralisation porte un nouveau coup au développement du trafic ferroviaire d’utilité publique et social. Où sont les beaux discours des pouvoirs publics sur le développement durable et le transfert de trafics routiers sur le ferroviaire ? Aujourd’hui, ils affirment que la modernisation des moteurs et l’utilisation de bios carburants rendront les véhicules routiers propres. La route peut donc se développer au détriment de l’environnement et de l’aménagement du territoire. Exit le chemin de fer qui ne cesse de régresser, selon leur dire.
Après Dugny et Lille, notre région est livrée à l’appétit des vautours des entreprises ferroviaires privées !
EWSI, English Welsh & Scottish Railway International Limited, a obtenu les certificats pour tirer des trains sur le réseau français. Ses propres machines, des Vossloh de la série G 1206, sont agrémentées pour utiliser les lignes de notre région. Depuis le 20 mai, des études de lignes, avec la collaboration de CTT SNCF, sont en cours afin d'être en conformité avec le décrêt « Arrêté Aptitude » (TT035)
Lundi 29 Mai, nouveau service d’été SNCF, EWSI possède des sillons prévus pour la circulation commerciale de trains entre les carrières de Caffiers sur la région de Lille et notre région, Bréauté/Gravenchon et Gaillon.
Une autre liaison traverse
Il n’y a pas si longtemps, la direction du Fret nous affirmait que les transports des produits de carrières n’étaient pas rentables !
Il y a un an exactement, résonnait en France, un NON majoritaire à la constitution européenne !
Pour ne pas en arriver aux drames anglais, réagissons ensemble :
Imposons aux décideurs politiques que les moyens soient donnés aux services publics afin qu'ils puissent assurer un service de qualité en toute indépendance des contraintes financières de rentabilité.
Expression unitaire CGT – FO – SUD-Rail – UNSA – FGAAC
Ensemble pour les salaires
La direction relance le débat sur l’intéressement. Elle convoque une table ronde le 11 mai sur le sujet. Elle souhaite aller très vite et soumettre son projet au CCE du 30 mai pour présentation à la signature mi-juin.
Par ce biais, elle tente de détourner les revendications salariales des cheminots.
Les augmentations salariales obtenues par les cheminots sont déjà dépassées par une inflation de 0,6% sur les trois premiers mois de l’année 2006 à laquelle il convient d’ajouter les hausses du pétrole (+4,2%), du gaz (+5,8% au 1er mai), les loyers (+1,1%)…
L’augmentation du pouvoir d’achat des cheminots actifs et retraités passe par une augmentation générale des salaires et pensions et non pas par une prime d’intéressement aléatoire et basée sur les résultats de l’entreprise avec comme conséquences des milliers de suppressions d’emplois, une dégradation des conditions de travail, de santé des cheminots et une fragilisation plus grande de notre protection sociale.
C’est pourquoi, ensemble, les fédérations CGT - FO - SUD Rail - UNSA - FGAAC qui ont dénoncé l’accord d’intéressement en octobre 2005 exigent l’ouverture immédiate de négociations salariales.
Après les 4000 emplois supprimés en 2004, ce sont 3550 qui l’ont été en 2005. Au total, les 13 200 suppressions depuis 2002 représentent une économie de 676 M€ pour la direction SNCF.
La baisse des coûts de production est l’objectif premier de la Direction SNCF. L’intéressement est un moyen efficace pour y parvenir puisque l’entreprise ne verse aucune cotisation sociale dessus (seul le salarié est soumis à la CSG, CRDS et est imposable).
Elle ne verse rien aux retraités qui en sont exclus. En plus d’être une injustice, c’est une remise en cause du statut qui prévoit des pensions indexées sur le salaire des actifs.
Bien que l’entreprise s’en défende, les cheminots ne sont pas dupes : les sommes dégagées pour l’intéressement viendront en déduction de l’enveloppe consacrée aux augmentations des salaires et pensions.
D’ailleurs, dans toutes les entreprises où ce système existe, il a un impact réducteur sur l’augmentation annuelle des salaires.
Par contre, c’est un excellent moyen d’intégration aux objectifs de l’entreprise. Par le biais de l’intéressement, la SNCF choisit un chemin qui sert ses intérêts et ceux du gouvernement mais dessert ceux des cheminots actifs et des retraités.
La SNCF estime que les efforts fournis par les cheminots en 2005 sont encore insuffisants, il faut toujours faire plus ! Jusqu’où faudra-t-il aller dans cette course à la productivité pour être compétitifs aux yeux de la direction et du gouvernement ?
L’intéressement que l’entreprise remet sur le tapis, ne peut répondre aux besoins quotidiens des cheminots. Ce serait instaurer une précarité salariale liée au bon vouloir du gouvernement et du patronat.
L’obstination de la direction est pour le moins suspecte au regard de sa politique de refus des légitimes revendications salariales.
Pour vivre dignement, pour régler les factures mensuelles, c’est d’un salaire décent, régulier et revalorisé chaque année dont les cheminots ont besoin.
Dans le même temps, l’entreprise vient de publier ses résultats financiers 2005 qualifiés d’historiques. Avec un résultat net de 1 334 M€ et un bénéfice de 417 M€ , gouvernement et direction disposent d’une nouvelle « manne financière » de 278 M€ (417 M€ - 139 M€ prévus au budget).
Au vu de ces résultats, les moyens existent. Il est donc possible d’augmenter les salaires et par péréquation les pensions.
Les Fédérations CGT - FO - SUD Rail - UNSA - FGAAC qui représentent près de 82% aux dernières élections professionnelles exigent l’ouverture immédiate de négociations salariales pour que celles-ci soient enfin l’occasion d’une autre politique salariale dans l’entreprise.
24 avril 2006 Le bureau de jugement s'est tenu ce jour au tribunal des prud'hommes de Paris. Après avoir entendu longuement l'avocat des agents et le représentant du syndicat SUD-Rail, les conseillés prud'homaux n'ont pas trouvé de réponses du côté de la SNCF pour expliquer pourquoi un texte réglementaire, équivalent d'une convention collective (le PS 25) et le contrat de travail de chaque jeune n'a pas été respecté. Le jugement sera prononcé le 06 juin 2006. S'il est probable que les conseillés renvoient devant un juge départiteur (les conseillés patronaux ne sont pas réputés très courageux lorsqu'il faut sanctionner une grande entreprise) il n'empêche que la SNCF n'a pas démontré sa bonne foi et est très en difficulté en droit pur comme sur le principe. SUD-Rail ne compte pas relâcher la pression. Déjà 20 nouveaux dossiers (gare st Lazare et gare de l'Est) sont déposé à Paris (audience de conciliation le 28 avril à 10h30) et une quarantaine d'ex EJ de la gare "de Paris gare de Lyon" ont déjà fait parvenir leur demande. Nous sommes, par ailleurs, en attente d'une date pour la cour d'appel de Lyon (probablement en juin 2006) sur le premier jugement en départage de Lyon favorable aux emplois jeunes. C'est près de 14 millions d'euros que la SNCF doit aux 2800 emplois jeunes, malheureusement seuls ceux qui auront pu ester en justice pourront récupérer leur dû (soit environ 1 million d'euros), pour les autres la SNCF reste gagnante. |
du 1er Mai
Journée de mobilisation des travailleurs et de solidarité internationale, partout dans le monde, le 1er mai 2006 se tient en France dans un contexte particulier. L'énorme mobilisation unitaire des jeunes et des salariés a obligé le gouvernement à enterrer le CPE. Cependant, tout n'est pas réglé. Le CNE (contrat nouvelles embauches pour les entreprises de moins de 20 salariés) et la loi dite “égalité des chances” ( apprentissage à 14 ans, travail de nuit dès 15 ans, mesures iscriminatoires sur les allocations familiales ou instauration de nouvelles zones franches avec, à la clé, de nouveaux cadeaux fiscaux aux entreprises...) doivent être des revendications unitaires à la suite de la victoire contre le CPE.
Les manifestations du 1er mai seront l'occasion de réaffirmer ces revendications et notre refus de la précarisation généralisée de nos vies.
Depuis des semaines, des milliers de manifestants anti-CPE ont été interpellés. Des centaines d'entre eux sont traduits devant les tribunaux : des peines très lourdes sont prononcées au regard des faits reprochés, pouvant aller jusqu'à de la prison ferme.. Tous les observateurs ont pu constater que ces interpellations étaient faites dans l'arbitraire le plus complet et que les jeunes arrêtés n'étaient pas des “casseurs”. Il est inacceptable que le gouvernement qui porte la responsabilité d'une crise sociale qui a duré plus de deux mois, maintienne cette attitude revancharde. Exigeons l'amnistie des manifestants anti-CPE !
Le 1er mai 2006 est aussi marqué par le projet de loi “Sarkozy”, dit CESEDA, en débat au Parlement le 2 mai 2006. Il entend promouvoir une “immigration choisie”, dépendant des stricts besoins des entreprises. C'est l'étranger jetable, enchaîné à son employeur qui , au-delà de la subordination qui caractérise les rapports entre patron et salarié, décidera aussi de son droit à rester sur le territoire français. Les employeurs seront à l'abri de toute contestation : les personnes concernées seront soit reparties, soit plongées dans une clandestinité rendant impossible l'accès aux droits. Ces contrats de travail imposés aux immigrés s'inscrivent dans la logique du CPE : casser les droits du travail pour offrir au patronat des salariés toujours plus dociles car toujours plus précaires.
Le 1er mai nous manifesterons contre toutes les formes de racisme et de discriminations. Le 1er mai est aussi une journée de solidarité avec les peuples du monde en lutte contre la guerre, les inégalités sociales et économiques. Nous voulons un autre monde basé sur une autre répartition des richesses et sur l'accès de toutes et tous aux droits fondamentaux.
L'Union syndicale Solidaires appelle à manifester
le 1er Mai partout en France !
Rouen: 10h30, Cours clémenceau, manifestation et inauguration symbolique de 2 ponts sur la Seine
- Pont de la victoire contre le CPE
- Pont de la lutte contre la précarité
Le Havre: 10h00, Bourse du travail, meeting et éventuellement Manif, exposition des photos des luttes contre le CPE
Dieppe: 11h00, Bourse du travail, meeting et apéro festif unitaire
Lillebonne: 10h30 devant la Mairie
Duclair: 11h00, Mairie du Trait, meeting
Eu/le Tréport: 11h00 et inauguration expo 70 ans congés payés
Elbeuf: 10h30 place de la Mairie
Fécamp: 10h00 à l’Union Locale avec inauguration expo :conquêtes sociales
Evreux: 10h30 à la bourse du travail
Caen: 10h30 place St-Pierre
Cherbourg: 10h00 place du théâtre
Combattu Promulgué Enterré !!!
Après deux mois de mobilisations, le gouvernement a été obligé de reculer. Le CPE, contrat de travail qui généralisait la précarité chez les jeunes, est aujourd'hui enterré. C'est une victoire du mouvement social qui a été capable de se mobiliser dans la durée et dans l'unité.
Face à l'intransigeance du gouvernement, les salariés, avec leurs organisations syndicales, et les jeunes ont su faire preuve de la ténacité nécessaire. Alors que le gouvernement était passé en force par un vote à l'Assemblée nationale, la mobilisation de la jeunesse et des salariés l'a obligé à se dédire. Il s'agit donc d'une victoire pour tous ceux qui refusent la mise en place des politiques néolibérales.
Pour remplacer le CPE, le Premier ministre a annoncé des mesures en faveur de l'insertion des jeunes les plus en difficulté. Au-delà même que ces mesures n'ont pas été discutées avec les organisations syndicales, leur champ d'application est ambigu et demandera à être précisé. De plus, il faudra être vigilant pour que, lors du débat parlementaire, ce qui a été expulsé par la porte ne revienne pas par la fenêtre.
Enfin, le CNE et la loi sur « l'égalité des chances » qui contient des dispositions régressives comme l'apprentissage à 14 ans, le travail de nuit à partir de 15 ans et la suppression des allocations familiales, ne sont pas supprimés. C'est dire que la mobilisation sociale reste toujours nécessaire.
Au-delà, le Premier ministre a annoncé un débat et une concertation sur « la sécurisation des parcours professionnels, la précarité, l'insertion des jeunes dans l'emploi ». L'Union syndicale Solidaires prendra toute sa place dans ces discussions et fera des propositions sur ces sujets. L'action et l'unité ont permis d'engranger un premier résultat. L'Union syndicale Solidaires préconise la poursuite de cette démarche à tous les niveaux afin d'imposer notamment une politique de l'emploi dynamique, liant formation, qualification et sécurité professionnelle.
COMMUNIQUE DE L'UNION SYNDICALE SOLIDAIRES
PARIS LE 5 AVRIL 2006
C P E : LE RETRAIT TOUT DE SUITE!
L’Union syndicale Solidaires sera reçue vendredi 7 avril à 11h30 par Bernard Accoyer
et Josselin De Rohan, présidents des groupes parlementaires UMP à l’Assemblée et au Sénat.
Comme les 11 autres organisations de l’intersyndicale, elle rappellera son exigence
d’obtenir l’abrogation du CPE en préalable à toutes éventuelles négociations sur l’emploi, la
précarité, la formation et le chômage des jeunes.
Elle réitèrera sa volonté de voir abroger toute la loi dite sur « l’égalité des chances » et
la fin du CNE.
Alors même que le gouvernement et l’IGS essaient de couvrir la bavure dont a été
victime Cyril (toujours dans le coma depuis 18 jours), l’Union syndicale Solidaires dénonce
fortement les violences policières et les arrestations arbitraires qui continuent à chaque
mobilisation.
A Lorient et à Tours, des adhérents de syndicats de Solidaires ont eu à subir des
violences injustifiables de la part de la police.
L’Union syndicale Solidaires appelle à renforcer les mobilisations et à participer à des
actions, blocages, manifestations (notamment celles du samedi 8 avril et du mardi 11
avril) … interprofessionnelles et intergénérationnelles partout en France et tous les
jours.
Une intersyndicale s'est tenue 05 avril [Lire le compte rendu ici]
Communiqué SOLIDAIRES à l'issue de l'entrevue avec Bernard Accoyer et Josselin De Rohan [Lire le communiqué]
Une réunion de l'intersyndicale 76 s'est tenue le 29 mars 2006 réunissant:
CGT, CFDT, Solidaires,CFE CGC, FSU, Fidl, UNEF,Sud Etudiant.
Faisant suite à une décision de l'intersyndicale nationale, il y a été décidé d'un
appel à la grève et à des manifs
[lire le tract d'appel à la grève SUD Rail]
le mardi 4 avril :
A Rouen : 11h départ cours clémenceau.
Ordre : Carré de tête, cortége jeune, Solidaires, Unsa, FSU, CGT, CGC, CFTC, FO, CFDT, partis et assos. Donc nous sommes en tête du cortége syndical
Parcours identique au 28 mars.
CAEN : 10h place st Pierre
Le Havre : 10h Franklin
Dieppe : 10h Gare
Evreux : 10h Pré du Bel Ebat
La fédération SUD Rail a déposé un préavis de grève reconductible
[lire le préavis]
de la Fédération SUD Rail
Ouverture anticipée à la concurrence du fret ferroviaire en France.
Le 31 mars 2006, un pas de plus sera franchi dans le processus d’éclatement de l’entreprise publique SNCF.
Pour SUD-Rail, cette libéralisation introduit le dumping social au détriment de tous les travailleurs du rail. Cette dérive ne sera pas sans conséquence sur le niveau de sécurité des circulations.
Alors que la préservation de l’environnement devrait être une priorité, cette libéralisation anticipée porte un nouveau coup au développement du trafic ferroviaire d’utilité publique et sociale.
Les expériences de libéralisation en Europe le prouvent : la concurrence ne favorise pas un transfert modal de la route vers le ferroviaire.
Les exploitants privés ne répondront qu’aux appels d’offre les plus rémunérateurs.
Déjà, seules les grandes agglomérations générant un trafic fret important ont droit à une desserte ferroviaire.
La fédération SUD-Rail poursuit son combat pour une autre politique des transports au service de l’intérêt général.
SUD-Rail confirme sa place de Résultats Nationaux des élections aux Comités d’Établissements
Depuis des mois, la direction SNCF et ses alliés mènent des attaques extrêmement dures contre les organisations syndicales qui défendent le service public. Rarement, on aura vu les dirigeants de la SNCF s’engager autant, pour dire quel syndicalisme ils voulaient pour accompagner la casse de l’entreprise. Toute la propagande ainsi distillée a pesé ; c’est logique. Pour autant : 64,77% des cheminots ont voté pour les syndicats qui appelaient à la grève reconductible en novembre dernier, 79,25% ont voté pour les syndicats qui refusent la mise en place de l’intéressement. Au-delà des résultats électoraux, dont il faut maintenant analyser le sens, établissement par établissement, collège par collège, SUD-Rail appelle à renforcer un front syndicat unitaire, face aux multiples attaques de la direction et du gouvernement. Cela se traduira concrètement le mardi 28 mars par une participation massive des cheminots à la grève interprofessionnelle contre le CPE. Pour ce qui est des résultats régionaux, Voir en rubrique "élections" section par section. Pour l'instant seule le section EEVHN m'a rapporté ses chiffres, à vous de jouer ! | ||||||||||||||||||||||||||||||||||
Manifestations à Rouen, Le Havre, Dieppe
pour le retrait du CPE,
Les organisations syndicales d'étudiants, de lycéens et de salariés CGT, CFDT, FO, CFTC, FSU, UNSA, SOLIDAIRES, CFE-CGC, UNEF, FIDL, appellent à faire grève et à manifester.
Après la formidable ampleur de la manifestation du samedi 18 mars qui a vu descendre dans la rue plus d'1,5 millions de personnes pour obtenir le retrait du CPE et devant l'obstination du gouvernement, les organisations syndicales d'étudiants, de lycéens et de salariés appellent à amplifier la mobilisation.
Les organisations syndicales de salariés soutiennent la mobilisation du 23 mars initiée par les étudiants et lycéens et appellent à contribuer à sa réussite.